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Révélation du jour - la juste place

12 novembre 2022

J’ai visité au petit matin l’Antéchrist avec Raphaël. J’ai souhaité lui demandé ce qu’il en est de son nom. 

Comme le soulignait Mahaliah hier (merci chère 😇 🙏 ❤️), c’est une définition pour le reconnaître mail il ne se sent pas contre le Christ. Je les vois d’ailleurs face à face, main dans la main. La vision d’une pièce : pile et face. Comme le masculin et le féminin. Pas d’opposition, juste une Etat d’Etre.


Puis j’ai compris que j’avais un lien étroit avec l’Antéchrist, de fortes émotions souvenir sont remontées, m’ont permis de voir que j’étais dans un ressenti emphatique, car submergée par ce qui brassait en moi. A ce moment, j’ai eu l’envie particulière de lui dire que je l’aimais, j’avais comme envie de me donner (une attraction incroyable). Et au même instant, une lueur de Conscience, j’ai senti :

  1. que j’étais dans l’empathie réactionnelle car je sentais cette émotion mémoire remonter

  2. qu’il n’émettais pas d’amour, mais alors pas du tout

  3. qu’il se servait de mon énergie (il m’a dit que mon énergie était délicieuse) comme d’un buffet

Je me suis recentrée, en conscience, immédiatement. Cela m’a aussi permis de sentir que je le connais depuis bien longtemps, d’où cette facilité à le rencontrer, comme pour Raphaël.

 J’ai longtemps été à ses côtés, il m’a instruite, comme un précepteur. Il m’explique que nous n’avons pas fait de Dyade.

J’ai demandé ce qu’il en est de son rayon. Il émet un rayon adamantine noir. Tout rayon est issu de la Lumière, mouvement, quelle que soit sa couleur. Il traverse les cristallisations qui sont lumière incréée (là où aucune communication n’est). La lumière noire communique. Elle soigne aussi. C’est pourquoi l’Antéchrist intervient dans les soins avec la Lumière. 

Il m’a semblé juste de lui demander d’oeuvrer avec Raphaël pour mon dos, je sens que je suis issue de l’ombre et de la lumière et que l’oeuvre de guérison est incomplète sans la participation de ces parties, unies. Il m’a fait comprendre que cela sera un pansement, mais que j’ai à comprendre l’origine de cette cristalisation. 

Après cette visite, j’ai fait le point avec Raphaël. Il était nécessaire de faire remonter l’émotion que j’ai sentie. 

J’ai compris que j’ai longtemps oeuvré aux côtés de cet Etre, avec qui la fusion n’a pas été totale. Deux émotions gigantesques se sont imposées avec évidence : Jalousie et Orgueil. Etre la seule, l’unique, la numéro 1, la Reine. C’est pourquoi je l’ai quitté pour retrouver Zarfak. Je sens que ces sentiments sont encore actifs.

Cela m’amène alors à LA JUSTE PLACE.

Ce point. Là où j’arrête de me charger le dos des responsabilités volées aux semblables, de vouloir toute la place, d’être grande/immense. Ce faisant, le dos est bloqué. 

Depuis toujours, j’ai cherché cette place. J’ai expérimenté pour la trouver. Ce n’est pas encore assimilé, juste compris, mais je sens les multiples résonances et conséquences en boomerang dans le corps physique et le corps universel (l’unité aux Etres, à tout), c’est à dire tout ce que les ramifications impliquent : la prise de responsabilités qui ne m’appartiennent pas, etc.

A partir de ce moment de révélation, c’est comme si un flux constant, un mouvement, s’est installé dans le corps. Je suis mobile en instance sur un point. Mouvement total dans la stabilité. Plus rien de figé. D’où la transmission sur les postures/mouvements, ils m’orientent à cette compréhension depuis longtemps. 

Tout comme la détente n’est ni relâchement, ni fixation, c’est une action souple.

Souplesse

Douceur

Bienveillance

Ecoute

Compassion

Observation


La juste place. Elle n’est pas si grande, elle est intérieure.

Déménagement.


Je sens que j’ai besoin de digérer cela un temps. Un temps sans publier me semble-t-il.

C’est un grand mouvement intérieur.

❤️🔥

Récits: À propos
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Impression du jour

16 octobre 2022

Lâcher les luttes.


A tout instant.


En marchant ce jour, j’ai été traversée par une impression bien particulière. Cette sensation que l’on peut expérimenter en écoutant pleinement de la musique. Celle où l’on lâche tout, pour se laisser pénétrer par les vibrations. Et où il n’y a que cela qui compte.


J’ai senti qu’il me suffisait de laisser pénétrer le flux de la Vie, avec la même simplicité que l’accueil de la musique. 

Laisser ce flux d’énergie de Vie pénétrer mon corps. Et j’ai senti que le corps devenait plus large, plus espacé, moins restreint, moins compact.

Puis cette impression, les pieds sur Terre, de vivre les sensations perçues en astral. 

Le mouvement de marche est fluide, je glisse sans effort. Les objets matériels sont énergie murmurante. Les voitures ou le train passant figurent des rayons d’énergie circulant à droite, à gauche. 

Tout est. 

C’est magnifique.


Dès le moment où je lutte, je sens que la marche s’arrête net. La vibration que j’émets ralentit jusqu’à ne plus émettre, ne plus se mouvoir. 

Stagnante. Figée. Durcie. 

Comme une mort. 

En contradiction avec l’harmonie dans le mouvement de cet ensemble et la nature de la vibration. Comme une négation.

J’ai senti cela dans le corps. 🙏

Ceci m’a rappelé la vision du vortex et de la réalité que l’oeil perçoit (cf « antagonisme »). 


L’évidence du flux et de ma participation active dans ce Tout par le lâcher et l’accueil.

Récits: À propos
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Récit de la nuit

9 octobre 2022

Récit de la nuit


J’ai rencontré Marie Madeleine, une énergie bien différente de ce que je connaissais. J'ai enfin fait le lien avec les éléments dans la matière vers lesquels j'étais amenée et que je ne comprenais pas. Tout prends sens.


Marie-Madeleine m’a donné à comprendre des éléments sur le fonctionnement de l’univers. Microcosme, macrocosme.


Je suis telle une particule, une cellule. Parmi une inifnité d’autres. Mon lien aux autres est à l'image des neurones avec des conductions qui peuvent se créer, se recréer lorsqu'elles sont abîmées, malades. La vie est l'occasion de guérir tous ces liens et donc pour moi, cellule, de fonctionner à pleine puissance. De facon à ce que toutes les cellules connexes ou identiques puissent aussi fonctionner à plein. Pour la santé de tout le corps. Le corps c’est la communion, l’union de toutes les particules, cellules. L'ensemble de ce corps est régit par l’esprit de ce corps, la Source.


J'étais interpellée par ce que je voyais : la ligne d’énergie lumière, blanche, qui traverse le cosmos. Car en y regardant de plus près, j’y ai reconnu la vision du vortex, celle où cette ligne, de plus près, est ce fameux tunnel de lumière décrit par les personne ayant vécu des NDE ou EMI par exemple. Ce tunnel est un vortex en mouvement constant (cf la publication "antagonisme"), et à y regarder encore davantage, il se comporte comme une hélice d’ADN. Il bouge, il est vivant. 

Je fais partie de cette hélice, j’en constitue une partie microscopique. Je comprends alors que c’est là que se crée ma réalité. 

Mais ce qui m’interpelle, c’est la vision de l’ensemble : une ligne. A ce moment, on me fait sentir qu’il s’agit d’un point de vue. En s’éloignant, on se rend compte qu’une ligne peut être perçue droite de près, alors que de loin, on se rend compte, quand elle fait moins d’un millimètre, qu’elle fait partie d’une courbe. Selon l’endroit duquel j'observe, la réalité est perçue différemment. Cette ligne est mouvante, courbe. Je n’ai pour le moment pas plus d’élément mais j’ai entendu que cela sera apporté une autre fois.


J’ai perçu ensuite d’autres lignes, des lignes de temps. Nous sommes à l'intérieur d'une ligne de temps. D’autres parallèles existent. Mais en fait elles ne sont pas vraiment parallèles. Ce qui fait qu’à certains endroits elles sont proches, et j’ai vu des lignes de connexion s’établir. A y regarder de plus loin, cela ressemble à une sorte de grille. Souple. Je comprends qu’à certains moment de la vie, il est possible de changer de ligne de temps pour vivre d’autres événements. 

J’ai questionné. Quand ces lignes sont très éloignées, que se passe-t-il ? Est-il possible de rectifier les événements ? Immédiatement, j’ai reçu l’image de la naissance d’un enfant. Dans ce cas, on ne rejoint plus la ligne de temps où la naissance n’a pas eu lieu. La ligne est trop éloignée. Intéressant.


Puis est venue l’idée globale de ce corps dont la Source serait l’Esprit. La Source nourrit chaque cellule de sa lumière, provoquant ainsi une aspiration profonde à évoluer. Certaines cellules sont tellement transformées que leurs récepteurs n’arrivent plus à capter ces éléments lumineux. Mais elles sont en contact avec d’autres cellules avec lesquelles elles interagissent plus facilement. 

Alors est venue la question des conductions énergétiques du corps. Notre corps de chair est créé d’après la Bible « à l’image de Dieu ». J’ai demandé ce qu’il en est pour ce corps de communion, ce corps de Source, c'est-à-dire le cosmos. 

Il existe des chakras. J’ai demandé à ce que l’on puisse me citer un de ces chakras pour exemple. LE SOLEIL. ALCIONE. Voilà deux chakras. Il y en a de multiples.


Qu’est-ce que la LUNE ? Une sorte de point d’acupuncture. C’est pourquoi lorsque tous ces points (planètes) sont alignés, cela a une forte influence sur notre santé. Cela informe en quantité notre cellule (c'est à dire l'ensemble de nos corps énergétiques et particulièrement notre corps physique, constitué lui aussi de cellules, je vous laisse imaginer la suite en zoomant... merci la Création). Nous sommes là dans le microcosme et macrocosme. Tout ce qui se vit semble valable à tous les niveaux.


Ce que je garde comme impression globale de ces visions est l’immensité et l’infinité de la Création, de la plus grande à la plus petite échelle et qu’en tout niveau de perception il y a les mêmes grilles, les mêmes éléments. La forme peut être différente, la structure de base est cependant de même nature. Solide, flexible, avec des conductions d’énergie et des centres d’énergie plus importants. 

J’ai eu le sentiment qu’étant une infime parcelle de cette grande création, il y a d’autres Etres d’autres plans, d’autres formes, qui oeuvrent pour l’ensemble des Etres car les parties (particules/cellules) qu’ils représentent dans ce corps communautaire sont moins malades que nous (ils rayonnent davantage dans leur corps que nous dans le nôtre). 


Puis s'est imposée la notion de revue de vie. Les témoins expriment souvent que durant leur revue de vie, ils ont ressenti ce que chaque être en interaction avec eux dans leur vie a pu ressentir, notamment (mais pas que) en étant blessé par leurs actions. 

J'ai demandé. Si en me réalisant, sans me restreindre, sans me nier, j’avais activé une blessure chez mon prochain qui lui a fait mal, est-ce que je vais le visionner dans la revue de vie ? Réponse : oui. Un peu surprise.

Si je suis consciente, si j’ai la capacité à percevoir que cela va activer une blessure, mais que mon prochain ne peut l’accueillir en conscience, alors j’ai à prendre cela en compte dans mon expression. J’ai à jauger l’expression, afin, dans la mesure où j’en suis en capacité, de créer la situation d’accueil pour mon prochain, pour favoriser une prise de conscience. C’est en partant du coeur que je me réalise. 

S'il reste une part d'inconscience, alors je ferais l'expérience, et peut-être expérimenterai-je une prise de conscience, par une compréhension, ou non. Tant que cela ne sera pas une évidence, un réflexe, ce point aura besoin d'infuser.


Je sors au réveil avec cette impression de subtilité sur une multitude de strates, d'immensité de la Création.

Récits: À propos
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Rêve révélateur

Cette nuit, je suis sortie du sommeil avec un rêve tout juste interrompu par l'alarme du réveil. Un rêve lambda, celui qui mélange les ingrédients vécus dans la vie de la journée de la veille, et les souvenirs plus anciens. A priori un rêve anecdotique permettant de classer les événements pour passer à autre chose.
Sauf que...
Quelque chose gratte à l'intérieur.
Cette drôle de sensation disant : "rembobine, et regarde de plus près". 
Je récapitule. Et me rends compte que ce rêve est une redite d'autres rêves déjà faits. Voilà la révélation ! 
L'initiation, la prise de conscience à travers cette redite ! Bien entendu, pas comprise jusque là, rangée dans les fantasmagories classiques. Et pourtant !...
Tous les archétypes présents, des messages profonds, et répondant en détail aux intentions posées notamment la veille, mais pas que...
J'aurais dû avoir la puce à l'oreille : d'habitude mes rêves ne comportent pas de visages ; cette fois 2 visages connus se dessinent dans un détail surprenant. Ce n'était pas un rêve parmi d'autres. Ce détail faisait la différence. Malgré cela, je suis passée au travers. 
Je me remémore tous les détails. 
Tout porte à me faire comprendre de nombreuses strates. 
J'en cite un tout petit extrait :
La rencontre d'une femme collègue qui m'accompagne sur un chemin semé d'embuche dans le village ; le seul pour accéder au lieu où j'ai à me rendre pour le travail. Nous nous trouvons face à des barbelés, comme d'habitude, mais la sécurité a été renforcée : tout est désormais électrifié. Impossible de passer en force sans souffrance. Cette femme sait que mon rendez-vous est essentiel, que des enfants et des élèves m'attendent, et n'ont pas de nouvelles. Je suis en retard à cause de ces embûches. La hiérarchie ne va pas tarder à me faire des reproches. La collègue décide de pirater le système pour réduire le voltage. Nous passons et je suis surprise de ne pas souffrir. Nous nous cachons sans plus attendre dans ce lieu merveilleux qui s'offre à nous, car nous savons qu'en ayant traversé, nous avons 'triché' et que nous sommes repérées. Tôt ou tard, 'ils' vont arriver. Je bifurque avec elle brutalement à droite, nous manquons de dévaler d'énormes marches en pierre historique descendantes. Au bas de l'escalier, deux femmes. J'entends ma collègue dire à la plus âgée : 'bonjour madame l'inspecteur'. Nous nous retrouvons dans une immense salle, magnifique, boisée, comme à la bibliothèque nationale. Un lieu paisible. Je crois être au tribunal. Je prends encore plus de retard et le stress m'envahit. Face à moi, ces femmes et plus d'une dizaine d'autres personnes, femmes et hommes. Il n'y a aucune agressivité, aucun jugement. Ils sont juste là, écoutant les faits que j'expose. Je présume d'un verdict, d'une réaction. Rien. Que de la compassion. Puis je me retrouve au lieu de rendez-vous, sans aucun arbitrage.
Je me rends alors compte que ces personnages étaient des êtres très évolués, lumineux, et que les barbelés sont les prisons que j'ai créées et renforcées moi-même, m'empêchant seule d'arriver à destination. 
Je retiens de l'ensemble des éléments du rêve, de suivre davantage les conseils de mon féminin intérieur, qui peut m'amener à transgresser "les règles". Ne pas avoir peur du jugement, car d'évidence c'est mon propre jugement, aucun autre n'existe réellement. Transposer ce que j'ai senti tant de fois en présence des Etres de lumières dans la matière. Le non-jugement, la plénitude de l'accueil, l'accompagnement... Avoir confiance en mon masculin intérieur qui prend le relais sans que j'ai à contrôler quoi que ce soit. Et donc tout ce qui se vit en moi se vit à l'extérieur de moi...
Cela paraît évident, je l'ai lu, entendu de nombreuse fois (merci mon mental de me le rappeler). Mais depuis cette nuit, c'est comme si ces 'connaissances' mentales, avaient été transmutées en tissu, en tissu que je peux toucher, que je palpe. Cela prend chair.  C'est la phase d'assimilation. 
Il y aurait encore tant à dire. Pour ce soir, cette transmission est déjà bien riche. Gratitude.
Voici en annexe l'énergie qui a suivi ce rêve. Orange, rose, et dorée, emplissant mon corps. La reconnexion de l'Energie de Vie au coeur et à la couronne. Et tout autour, bleu ciel scintillant. Marie enveloppante. MERCI

30 septembre 2022

Récits: À propos
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Récit de la nuit

13 septembre 2022

Récit de la nuit


Quelques éléments me reviennent en mémoire au petit matin. 

La présence d’Uriel, répondant à mes demandes de la veille.

Il m’a montré mes cheveux, qui coulaient comme un fluide vers le sol, de part et d’autre de mon crâne. J’ai compris le lien avec le féminin et le nettoyage.

Puis j’ai vu l’origine, dans le corps. Le ventre. Cela remonte vers les cheveux, puis cela coule vers le sol. Puis tout à coup j’ai pensé que cela ressemblait à un Thorus. 

C’était surprenant. J’avais appris par des lectures ou l’entourage que le mouvement de nettoyage était une descente par les chakras du corps. Dans cette vision, le mouvement est autre.

Des mécanismes encore actifs sont en cours d’effacement. Je n’ai pas encore totalement intégré. C’est en cours d’assimilation. C’est pourquoi les émotions sont toujours actives. Moindres mais présentes. 

J’ai pris conscience de ma relation au corps. Considéré comme extérieur à moi, parfois comme une coquille vide. Cette double sensation d’avoir le recul en Conscience et les blessures activées. Le mental et l’Esprit. Identifier l’origine pour accompagner l’assimilation qui est en cours, avec bienveillance et compassion. 

Le corps reflet extérieur de l’intérieur, comme le monde extérieur peut être le reflet du monde intérieur (avec toujours des nuances, rien n’est tout noir ou tout blanc). Le considérer comme coquille vide représente pour moi une fuite à l’incarnation pour diverses raisons : vies de violence, de soumission, de folie, de rejet, où cette solution fut une sorte d’anesthésie à la douleur et de retour à l’Esprit. Pour autant, il est la représentation matérielle de l’âme. Ne pas l’accueillir est se nier. 

Cette dichotomie est au centre d’un grand mouvement intérieur.

Je sens qu’un ensemble de champs expérientiels vécus est directement issu de trois vies de génocides que j’ai perpétrés. Ces vies où j’ai vécu le pouvoir absolu sur tout être (rituel de magie noire, royauté, guerrier indien). 

L’une d’elles a été plus fortement marquante sur le plan de la culpabilité ressentie aujourd’hui. 

Elle tend à s’apaiser. 

Je constate que les mécanismes inconscients de la vie de tous les jours ont une origine souvent surprenante. Et cela sonne d’une telle évidence pourtant, une fois posée l’identification reçue. Les vies boomerang de ces génocides ou d’autres vies de négation de la vie. Les résonances multiples. Compensations. Encore actives à un niveau subtil et combien présent.

C’est en cours. 


Il y a beaucoup de choses à apprendre. Plus je soulève les leviers, plus j’aperçois l’immensité des apprentissages d’amour. C’est de cela qu’il s’agit. Apprendre à aimer. C’est en chantier. Et je vois ce chantier s’expanser vitesse grand V…

Récits: À propos

Partage du jour

5 septembre 2022

Les traces
Les résonances énergétiques.
Comme un son qui réverbère, un effet d’écho, jusqu’à ce qu’il se dissipe. 
Des traces qui déteignent sur différentes vies et qui sont encore présentes aujourd’hui dans l’incarnation actuelle.
Entre rêves et remémoration d’anciennes vies, le puzzle se (re)crée.
Une vie orientale. 
Les éléments fondamentaux me parviennent, sont complétés par le compagnon, par des phrases lancées ‘au hasard’ par un collègue, un ami, un membre de la famille… Peu à peu, cela ‘gratte’ dans le corps. Je sens que cela prend forme. Une nouvelle prise de conscience. Une compréhension avec une nouvelle couleur. 
Une vie orientale, dans laquelle je suis l’une des femmes du harem du Sultan. En vase clos. Une prison dorée, de laquelle mon statut de femme est à la fois soumission mais également prestige et pouvoir, en comparaison à d’autres milieux. La manipulation, les secrets, la séduction sont au centre. 
Un bel eunuque veille au soin de ces bijoux, afin de plaire au chef. Lui aussi bénéficie d’un statut mitigé, entre esclavage et position de second du roi. Il veille au soin des femmes qu’il contrôle, afin que la qualité de celles-ci répondent aux attentes du Maître. 
Une aiguille dans l’engrenage. 
Les femmes étaient initiées en cachette à la sexualité afin de répondre aux besoins du Sultan. L’Eunuque y participait. Sauf qu’un lien plus intime se noua entre lui et moi. Nous nous aimions. Et ce qui ne semblait pas possible arriva : je tombais enceinte. Malgré de nombreuses tentatives pour cacher l’origine de cette grossesse, le Sultan ne me choisit pas pour la nuit. L’enfant ne pouvait donc pas être de lui. Je fus condamnée.
Aujourd’hui cet Eunuque est un Etre qui m’accompagne dans l’incarnation actuelle. Et cela explique beaucoup de mécanismes inconscients. De part et d’autre.
Je réalise également l’impact de cette vie. Le goût pour le henné, pour l'architecture méditerranéenne, pour la mosaïque. L’odeur de certaines épices. Et surtout, plus fondamentalement, un réflexe vécu depuis l’enfance.
L’on avait prédit à ma mère qu’elle aurait un garçon. Et ce ne fut pas le cas. Elle me coupait les cheveux courts durant toute l’enfance, comme un garçon (contrairement aux deux soeurs qui gardèrent une coupe aux cheveux longs). Même si au fond de moi, cela ne me plaisait guère, j’acceptais l’argument de l’épaississement des cheveux par une coupe régulière. Parallèlement, durant les premières années d’école, j’aimais beaucoup jouer avec les garçons. On disait de moi que j’étais « un garçon manqué ».
Je réalise aujourd’hui que durant la vie orientale, la vue d’une naissance féminine a plongé mes parents dans le désarrois et la colère. Désarrois heureusement rattrapé par la suite grâce aux formes voluptueuses qui leur ont permis de vendre leur progéniture au Sultan et d’ainsi compenser en partie le défaut de naissance. « Sois belle et tais-toi’ » 
Plaire. Plaire ou être rejetée. Voilà la croyance.
Croyance qui se poursuit. La complaisance. La complaisance sinon je crois que je vais être rejetée. Que je n’ai pas le droit de vivre. Se couper en quatre pour survivre.
L’affirmation de QUI JE SUIS est un levier pour détrôner cette vieille croyance, dont les traces résonnent encore aujourd’hui.
Traces alimentées par une société et un inconscient collectif, mais également par un traumatisme très ancien. 
Je me sens comme une rose qui s’ouvre. Qui s’ouvre lentement et s’offre au soleil, au vent et à la rosée. Je me donne enfin le droit de développer mon parfum. Délicat, doux et subtil. J’apprends à m’aimer et à aimer ce corps. Je monte une marche de cet escalier encore bien long, mais peu importe où il mène, je pose le pied. Et j’écoute les résonances.

Récits: À propos
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Rêve de la nuit

2 septembre 2022

Un symbole vivant qui, comme un dessin animé, prend forme, peu à peu. Je vois le début du dessin, puis la forme humaine, les bras, les jambes. Je comprends également que la base peut représenter le foetus. L'ensemble devient tel le coquillage marin, ou la 'Forme de Vie'. La suite de Fibonnacci, le nombre d'or. Je pense à Leonard de Vinci. Magnifique. Vibrant.

Puis deux mains se sont posées sur mes hanches, par derriere. J'ai senti qu'il s'agissait là d'une approche pour me proposer des soins à cet endroit. L'être inconnu pour moi m'a dit s'appeler Antoine. J’ai compris qu’il allait œuvrer là dans la coupe de l’accueil. Pour décristalliser, étirer, laisser passer plus d'espace à cet endroit. 

J’ai senti une reconnexion avec lui, c’est une énergie tres différente des anges ou archanges. On s’est aimés dans une incarnation. Il m’a fait remonter mon taux vibratoire. Son énergie était très belle, agréable et enveloppante. Pleine d'amour. Il m'a précisé : "je suis Antoine, Antoine de Padoue". 

Sur le moment, je me suis dit que je manquais de références à son sujet, si ce n'est que ce nom ne m'est pas inconnu. Je chercherai des informations au réveil.

Puis j’ai fait un drôle de rêve. Toujours le même type de rêves (qui s'étaient arrêtés depuis que j'en avais compris le sens) : une maison avec de nombreux niveaux. Ce retour de rêve m'indique que sans doute de nouveaux étages se dévoilent. 

J'étais au niveau inférieur, avec de la terre battue, il faisait sombre. Il y avait la possibilité de creuser pour faire un espace de repos un niveau en-dessous, toujours dans la terre, sous la forme d'une tombe creusée. J’ai dit : "hors de question que j’aille si bas". Je sentais qu’il y avait aussi le compagnon et les enfants quelque part. 

Puis il était temps pour moi de partir, de fuir en douce cet endroit si je voulais vivre. J’ai attendu la nuit, j’ai pris le minimum d'affaires au cas où j’aurais faim, et sinon j’achèterai en chemin. 

J'ai alors senti que le compagnon qui semblait être au départ un frein à ce changement de lieu, pouvait aussi partir avec moi, et peu à peu cela s’est imposé avec légèreté et évidence. Puis la 2e fille a voulu venir, avec ses conditions. Elle avait besoin de manger en route. J'ai donc pris un bagage à roulette, plutôt grand, et j’ai voulu y insérer quelques saladettes au thon (!) : elle faisait la moue et cela m’a agacée. De plus, je savais que ce bagage pouvait nous faire repérer à cause des trâces de roulettes dans la terre. 

La scène suivante se passe sur la plage à la tombée du jour. Tous les enfants sont là, le compagnon également. Nous avons probablement réussi à partir ensemble et ce lieu est agréable. 

Nous y avons établi notre vie depuis peu. 

Tout à coup, je sens qu'un Tsunami approche. Il n'est pas encore visible, mais j'en suis certaine. 

J'ai l'impression que cela fait suite au fait que je m'affirme. 

Personne ne me croit. 

Je rassemble tant bien que mal les affaires, jouets et nourriture en vrac dans le sable et l'eau. J'essaie de sauver le maximum, cela déborde de mes bras, et personne ne m'aide, tout le monde continue à s'amuser dans l'eau. 

Puis tous comprennent et voient la vague au loin. 

Direction la voiture, grande vitesse. Beaucoup de monde sur la route, des bouchons, chacun essaie d'éviter la catastrophe. 

J'emprunte la voie de secours, comme quelques personnes, et je m'apprête s'il le faut à rouler dans les champs car je sais que ce qui va nous tomber dessus est grave. Peu importe les règles de la route, si l'on veut vivre, on fait le tout pour le tout. (c'est tres symbolique)

Puis je vis une autre scène. 

Sans doute a-t-on réussi, nous faisons une pause durant le voyage dans une maison dont je sais qu'elle est toujours ouverte pour moi, même sans clé et sans prévenir. 

C’est chez un ami. 

Il est souvent en vadrouille, je ne sais s’il est là, mais nous nous installons pour récupérer un peu, l'espace d'une heure ou deux. 

Finalement je constate un peu embêtée que les enfants prennent leurs aises ainsi que le compagnon : douches, lits, jeux. 

Je vois que dans cette maison il y a aussi énormément de niveaux et des endroits cachés. Je sens qu'il y a des voisins aussi à travers ces murs. (En écrivant ces lignes, je comprends qu’il y a des âmes désincarnées) 

Je vais dans le jardin et aperçois au niveau de la cuisine une plaque qui ferme tout. 

Cet ami est donc là. 

J’ai peur. 

J’ai peur qu’il me voie. 

J’ai peur de me faire attraper ou de le revoir. 

J'observe ma réaction dans ce contexte familial, sans avoir prévenu, même si je sais que cet ami est "open". 

J’ai peur de la confrontation avec lui. 

Puis je vais dans le salon et plusieurs fois je sens qu’il peut être là. 

Je mets mes chaussures et range tout dans le bagage, pour partir incognito, et en même temps j’espère qu’il ne voie pas que j’ai mis les chaussures (car il y a la règle chez lui d'enlever ses chaussures) donc je commence les à ôter. 

Au même instant, qui se trouve derrière moi ? 

Lui. 

Etonné de me voir.  

Pas convivial. 

"Que fais tu là ?" 

Je sens en lui  plein de murs érigés. 

Moi qui avait tous les arguments du monde, je suis figée, rien ne sort de ma bouche, mais mes yeux, mon énergie et mes émotions disent tout. 

Il capte. 

Les événements se transforment. 

Il est touché. 

Il me sort un jeu en papier qu’a créé son fils. Son visage prend l'expression d'un gamin amusé en me le montrant. 

Il veut me rassurer. 

Les murs tombent. (En écrivant ces lignes, je me rends compte que ce sont mes propres murs) 

Son jeu est génial. il y a comme une matière qui déploie tel un accordéon sa structure en cylindre plié. Je m’amuse. Lui aussi. Et quand je crois être au bout des surprises, j’en trouve une autre : des petits morceaux de papier tels des ailerons se déploient à la surface, tout à la fin. Nous nous amusons tels un frère et une soeur. 

Puis le réveil sonne. 

Ce matin, je partage ce rêve avec le compagnon, qui me parle de Jung et de sa signification de la maison et de la terre battue. Il cherche le livre ‘Ma vie’, et ne retrouve pas le passage en question. Je lui demande de me donner le livre. Je tente. Je ferme les yeux et je pose mes deux pouces à deux pages du livre, "au hasard". Sous le pouce droit, le terme Mandala avec la définition. Je fais le lien avec l’image reçue cette nuit que je souhaite partager. La Forme de Vie. Cette image qui peut se reproduire à l'infini, tel un mandala, dans une forme de géométrie sacrée. 

Et sous le pouce gauche, je tombe pile sur les paragraphes correspondant au rêve de Jung concernant une maison à plusieurs étages et son interprétation !! Magnifique. 




Je vous joins ci-dessous l'illustration croquée tel un dessin animé en plusieurs étapes (en lisant de gauche à droite puis en descendant d'un étage) de la Forme de Vie.

Récits: À propos

Récit du jour

15 août 2022

Récit du jour
Les deux pigeons
Quelques années que cela n’était pas arrivé. Un premier pigeon qui s’envole à l’intérieur d’un vaste édifice. J’ai le coeur qui se serre, l’expérience a de maintes fois montré qu’une fois entré, l’animal n’arrive pas à retrouver la sortie. Il cherche à s’élever, mais la sortie est au sol. Tout à coup, je vois qu’il n’est pas seul : son alter ego est aussi présent. Deux pigeons, croyant en leur liberté dans cette prison grise. L’avenir nous dira s’ils échappent à l’habitude.
Ce matin, sur le quai du métro, une belle plume blanc-gris. Je souris.
La rame s’ouvre automatiquement. Le wagon est vide d’humains. En revanche, grosse surprise : j’entre et derrière la porte, deux pigeons gris-blanc marchent devant moi. Mon entrée fait s’enfuir le premier qui arrive à retrouver l’espace extérieur (la station est à ciel ouvert). Le second est plus confus et tourne sur lui même. Je l’incite à partir pour rejoindre son compagnon et le pousse in extremis vers la sortie. Le pigeon s’envole juste avant la fermeture de la porte, la liberté est retrouvée.
Belles synchronicités. 
Cela m’a permis de découvrir les belles vertus attribuées au pigeon, bien en lien avec ce que je vis actuellement.
Je conclus ce Récit et regarde l’heure. il est 17h17. En regardant sur internet, je souris à nouveau. 
« Imamiah est le nom de l’ange qui correspond à l’heure miroir 17 h 17. Imamiah assure la protection aux personnes emprisonnées. Il guide les voyageurs dans leurs longs itinéraires. »

Récits: À propos

Récit de la nuit

12 août 2022

Saint Laurent

Il y a quelques années, j’aimais parcourir différentes églises, sans m’y poser définitivement. Découvrir, rencontrer, observer divers fonctionnements. Puis un jour, l’occasion de jeter l’ancre me fut proposée. Saint-Laurent. Le seul lieu où je me suis sentie comme à la maison. Je ne mis pas beaucoup de temps pour me décider : c’est d’accord pour Saint-Laurent !

Il y a deux ans, durant l’été 2020, une canicule était prévue dans toute la France. J’eu l’idée de la fuir et d’aller sur la côte, à Ver sur Mer. Lieu idéal pour la journée, du vent, pas de canicule. Parfait ! Sauf que ma peau a brulé, j’avais un coup de soleil magistral sur tout le buste, avant et arrière. Uniforme. Durant plusieurs jours, j’ai appliqué consciencieusement de la biafine. Le 3e jour, grosse surprise. J’avais dans le dos, la marque de deux mains blanches, comme un soin, au milieu de ma peau encore brulée. L’une avec l’avant-bras qui montait de mes hanches vers le milieu de mon dos, et l’autre sur mon épaule droite, dans l’autre sens. A ces endroits, la peau était complètement guérie et non bronzée comme c'est le cas après une application de biafine. Apres avoir cherché toutes les explications rationnelles possibles sans succès, je baissais les armes. Ce fut le Réveil spirituel. Pas des moindres. Dès lors, les manifestations n’ont cessé. Dans l’invisible et dans la matière. Ce jour là fut comme une deuxième naissance. 

Il y a quelques jours, prenant des vacances près de la Garonne, je fus saisie par la vision d’habitations en bord d’eau, pourtant pas si belles, mais qui me touchaient au coeur. Et ce n’était pas la première fois que je passais là-bas. Quelques années auparavant, j’avais déjà vu ce paysage et j’avais insisté pour y faire une halte et y tremper les pieds. Mais je ne l’avais jamais localisé. Cette fois, je souhaitais le savoir. 

Saint-Laurent ! Incroyable mais vrai : le nom de la ville est Saint-Laurent !

De retour de vacances, j’ai souhaité passer à nouveau une journée à Ver sur Mer. Le jour fixé était mercredi dernier, il y a 2 jours. Comme un feed back, là où tout a commencé. A nouveau, le soleil avec le vent ont fait un cocktail me permettant de compléter les brulures de la 1ere fois ! Plus rien sur le buste, mais partout ailleurs ! 


 Tout à coup, je réalise que la dernière fois, il s’agissait également du 10 août. Curieuse coïncidence. 

En regardant le calendrier, le 10 août, c’est la Saint-Laurent. Ce Saint qui est mort martyr brûlé sur le grill. 

Merveilleux cadeaux en cette Pleine Lune de feu !

Récits: À propos
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Récit initiatique du jour

7 août 2022

Je m’appelle SANA.
Ces mots résonnent si fort, vibrants. 
Je me sens divisée entre plusieurs personnalités, dont deux principales fortement polarisées en opposition.
Je me suis recroquevillée par terre, les bras autour des jambes repliées, la tête en direction des genoux. Immédiatement les êtres de lumière se sont assis à mes côtés en formant un cercle dont nous constituions la circonférence. Il y avait une majorité d’Etre de lumière blanche, et deux Etres de l’ombre.
J’avais auparavant eu une conversation avec l’un de ces deux Etres, avec qui je sens que j’ai un lien d’Amour très fort. Nous nous sommes aimés, certes avec conditions, mais nous nous sentions bien dans ce système. Il m’aime toujours. Moi aussi.
Je viens de l’ombre. Je suis principalement ombre. J’ai beaucoup expérimenté cet état d’Etre et aspire à expérimenter aujourd’hui d’autres états, d’où mon attirance pour la lumière blanche. Bien que ces deux notions soient encore trop duelles. Je sens que je suis beaucoup plus dans l’acceptation de ma nature d’ombre principale. Il n’y a pas de jugement ou de morale. De bien ou de mal. 
Je visualise cet Etre ami avec des sortes de lambeaux noirs qui flottent comme des habits déchirés au vent. Une image bien humaine. 
Il maintient cet ordre de l’ombre simplement avec des conditionnements pour permettre à chacun d’expérimenter ce qu’il souhaite expérimenter, en liberté de choix. Soit avec des conditions, soit sans conditions et dans ce cas il part ailleurs. Le royaume de l’ombre fonctionne avec des conditions. Les êtres de ce royaume sont juste là pour nous guider (accepte t’on d’être libres ou d’être soumis à nos propres conditions?). (Voir les chroniques de l’Etre LES FICELLES).
Est ce à dire que la voie est l’harmonie de l’ombre et de la lumière ? Et non la lumiere blanche exclusive ? Pourquoi tendre exclusivement vers l’un ou l’autre ? 
Pour passer un pallier où le Moi n’existe plus et que l’on est totalement au service de l’évolution des différents « Moi » qui expérimentent ? Ainsi permettre à chacun de vivre ce que l’on a vécu ? Dans ce cas, il y aurait une fin. Et l’Infini alors ?
J’ai demandé à cet Etre de l’ombre. Je sais que certaines choses sont restées au fond de ma mémoire et ne ressortent pas de mon cerveau alors qu’elles étaient Evidence. Il m’a câlinée. C’est là que j’ai entendu ma propre voix : Je m’appelle SANA.
C’est drôle, me suis-je dit. Comme une bribe de Sananda. 
Lors de cette conversation, Jésus et Métatron étaient également présents, comme pour m’épauler. Je n’étais pas vraiment sûre de moi, était-je capable de discernement, sans me faire berner par cet Etre de grand Pouvoir ? Je suis encore dans la croyance qu’il souhaite me berner, pourtant je sens au fond de moi que c’est moi-même qui crée cette croyance. Je ne ressent plus la peur que j’avais il y a quelques temps face à un être de l’ombre. Je crois que j’ai effacé certains conditionnements à l’origine de cette Peur. D’autres sont encore bien actives.
Mon ami de l’ombre m’a donné la vision de moi-même : entourée, presque écrabouillée de chaines d’acier épaisses, plus épaisses que moi. Je peux choisir de les exploser, mais je crois que je préfère la solution où je fais comme le serpent, je glisse vers le haut et sors de ces chaines. Je me libère. Je vois apparaître un âne, je le câline. J’ai devant moi deux chemins, l’un bifurque à droite, l’autre à gauche. En face, le lac dans la foret. Je me dis encore ; dualité, gauche ou droite. Et bien, je vais tout droit. Cette nature m’attire, l’eau m’attire. Et mon aigle m’a alors rattrapée.
Je sens que je suis une initiée d’Isis. J’ai ensuite vécu une fusion entre mon masculin et mon féminin intérieur. Une sorte de mode d’emploi à la fusion totale dans la matière entre un homme et une femme. Peut être le partagerai-je un jour dans un Récit. 
Je sens que j’ai à oeuvrer dans l’acceptation totale de l’ombre et de la lumière blanche en moi. Telle quelle, sans volonté de domination ou d’adaptation, de changement de quoi que ce soit de cet état d’Etre.
J’ai ensuite cherché sur internet si ce prénom SANA existait. Il existe bel et bien. Et il est tout à fait Moi dans cette incarnation. 
Tout ce Récit initiatique correspond dans les symboles et les signes à cette recherche d’harmonie intérieure que je vis actuellement. Pour conclure, je découvre que c’est l’anniversaire aujourd’hui d’une âme avec laquelle j’ai établi dans une autre vie un serment de retrouvailles, un serment d’Amour conditionnel réalisé dans le royaume de l’ombre. Et avec laquelle je viens de me reconnecter. Qui, comme moi, a cheminé vers la lumière blanche.
Il n’y a pas de hasard !

Récits: À propos

Récit du soir

4 juillet 2022

Merveilleux cadeaux 



C’est l’heure du coucher des enfants. Comme chaque jour, papa et maman accompagnent les enfants vers le sommeil. Histoire d’un côté, confidences de l’autre, rires et détente.

Ce soir, petit jeu entre papa et l’ainée : s’entrainer à voir l’aura de l’autre. Lui a besoin d’un peu de concentration et de temps pour déceler un contour et une couleur. Pour elle, c’est immédiat et facile : papa est violet et vert foncé ! Il pimente alors le jeu trop court, et lui dit qu’il est possible de voir l’aura des anges. De l’inédit jusqu'ici entre eux.

Et voilà que la grande fille appelle son ange gardien. Tout de suite, elle sent des frissons lui parcourir la main. Elle sent l’énergie se déplacer puis sent des frissons dans son autre main. Tout à coup, elle voit la présence devant elle, et au même instant, petit bébé de 5 mois dirige son regard spontanément au même endroit et éclate littéralement de rire !!

Quelle merveille !

Nous nous serions déjà contenté d’un si joli cadeau ! Mais ce n’est pas tout.

Le coucher terminé, nous redescendons Yannick et moi-même. Je découvre un appel manqué une vingtaine de minutes auparavant sur mon portable. Surprise : cet appel a été fait par Yannick. Impossible. Nos téléphones étaient restés en bas durant tout le coucher, il n’a pas pu m’appeler. 

Il me montre  d’ailleurs son téléphone, il n’y a pas d’appel en absence. Je lui montre le mien (cf l’illustration), cela avait sonné une vingtaine de secondes. Pile au moment de l’expérience avec l’ange gardien !! 

J’ai alors eu l’envie de partager ce moment merveilleux, et je me rends compte que l’appel a été donné du téléphone fixe de la maison, que nous n’utilisons quasiment jamais. Il n’y a pas de répertoire enregistré, autant dire qu’il a fallu une volonté très ciblée pour m’appeler sur le portable !

Et au moment où j’écris ces lignes, je me sens comblée de cadeaux : c’est aujourd’hui l’anniversaire de ma grande soeur, et au même instant, je pense à Jean-Louis Florentz. Eh bien oui, après vérification, il est décédé il y a très exactement 18 ans aujourd’hui. Et ma soeur s’appelle Florence, un prénom qui sonne presque comme ce nom Florentz. 

Récits: À propos

Récit du jour

19 juin 2022

L’Engagement
« Tu t’es engagée, tu vas jusqu’au bout »
Ce programme gravé dans mon cerveau d’enfant comme dans du marbre fait office de Loi inébranlable.
Les résonances d’une telle Loi sont présentes dans de multiples plans et font oublier le mot « engagement » au profit du mot « devoir ». 
Pourtant, un engagement me semble souvent issu d’une énergie de joie, d’enthousiasme et de réjouissance !
J’aimerais vous conter une histoire reçue il y a quelques nuits.
Dans un temps reculé, vivaient une femme et son enfant au milieu des bois. Ils étaient isolés du monde, et pour cause. La femme n’avait que les ressources de la nature, qu’elle connaissait bien, pour vivre ou plutôt survivre. L’enfant, lui, était particulier. Si particulier, qu’il ne pouvait se mouvoir. Seul son visage semblait vivant. Son corps était comme un sarcophage de pierres dans lequel son âme était contrainte. Sans la présence de sa mère, cet enfant ne pouvait survivre. Celle-ci s’était engagée auprès de son enfant à le protéger, le nourrir et en prendre soin. L’isolement était la seule solution, le monde en ce temps là n’admettait pas les différences et un enfant handicapé ou présentant une différence par rapport à ce qui était « la norme » décrétée par l’humanité, n’avait pas le droit de vivre et était exécuté. 
L’Evidence s’était imposée à cette mère, qui fit le choix de l’engagement auprès de l’enfant : la Vie avant tout. 
La Vie avant tout. 
La Vie de l’enfant avant tout. 
Et la Vie de la femme ? Effacée. 
C’est ce qui créa à l’intérieur de cette femme une tension, une tension si forte que l’engagement devint un enchainement. C’était inconscient. 
La femme mourut de vieillesse après avoir vécu une longue vie.
Aujourd’hui cette femme est un homme. Un homme jugé par les femmes. Un homme qui ne s’engage pas, un homme qui est étiqueté comme fuyant. Il vit l’Instant présent tel le fruit le plus précieux de ce monde et des mondes. Cette vision déplaît à l’humanité, encore une fois. 
Il est facile de juger les faits et les dires d’un autre Etre, sans connaître son vécu ou ses vécus expérimentés qui font ce qu’il Est. 
Cette histoire m’a ouverte à la Compassion. Et à mes propres limitations et blessures qui me déclinent en juge. Mais qui suis-je pour juger ?
L’engagement est juste s’il est joie. La Vie étant mouvement, cet engagement est également mouvement. Et c’est souvent là que le bas blesse. Permettre à cet engagement de se modifier en substance est Essentiel, sinon il devient chaîne. Et n’est plus juste. 
A la Vie !

Récits: À propos

14 juin 2022

L'effet de la Super Lune (nommée également Lune de fraise) du 14 juin 2022



Les graines germent 

Le nouveau prend la place de l'ancien 

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Récits: À propos

Récit

2 juin 2022

« Il est Temps »

Ces mots résonnent.

Je comprends ce matin qu’il est temps que je partage des Récits. 

Le premier sera « La Source de Vie » :

Cela fait un moment que je côtoie Métatron. Il m’emmène dans des mondes à explorer. 

Ce jour-là, il m’accompagne à un endroit où coule une source, comme une cascade, un torrent. Tantôt je la vois comme étant dans la grotte derrière cette chute, tantôt par l’avant. Ma vision est multiple et instantanée. Métatron m’explique que c’est la Source de vie, d’eau de vie. J’aperçois des fées à côté, tout est verdoyant, plein de vie. J’essaie de percevoir la musique du lieu ; j’entends des petits sons aigus. 

Apparaît alors Uriel que j’ai rencontré il y a quelques jours. Je le vois très, très grand, et mince, avec un visage allongé. Uriel me porte, vole, et je sens cette magnifique énergie de protection, comme s’il était un grand frère. Et cette immense enveloppe d’Amour. J’ai alors envie de lui dire mon amour. Sa réponse est très vive et rapide, une grosse énergie jaune/verte me traverse le corps plusieurs fois.

Je lui demande de m’emmener écouter la musique de la Source de vie. Nous y retournons. Devant la cascade, il plonge sa main, me met de l’eau sur ma bouche. Puis sur mon visage. Puis il plonge ma tête dans la source. Je sens qu’il me fait un soin, comme une purification. Puis il me porte en volant et m’immerge sous la cascade. Je le remercie. Il prend ensuite de l’eau, la fait remonter à l’intérieur de mon corps, comme pour me nettoyer en profondeur. Je ressens une très grand énergie de lumière émaner de mon corps, et un changement. Il me fait alors boire des gorgées d’eau pour que l’eau entre par le haut dans mon corps. Impression que mes yeux gardent tout le temps la vision de la lumière, yeux fermés, comme deux globes qui émettent de la lumière. 

Je souhaite entendre la musique du lieu. Les fées vertes virevoltent et je mémorise les notes du lieu. Uriel m’aide à ancrer cette mémoire en moi. Métatron regarde cette scène de loin.

La journée passe. Ce soir là, je découvre que l’évangile du jour est celui de Jean le Baptiste qui baptise dans l’eau du Jourdain. 

Plus tard avant de me coucher, je poursuis la lecture du livre d’Henoch, et je tombe sur ce passage :  ‘malheur a vous qui buvez de l’eau en tout temps ! car vous aurez bientôt votre récompense ; vous serez consumés, vous serez exterminés, parce que vous ne vous êtes point désaltérés aux sources de la vie’. 


 Synchronicités ! 

Récits: À propos

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