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L'antagonisme

octobre 2022

Pensées et Rêve initiatique

L’antagonisme ?

Toute onde émet un signal. Dans de nombreux cas, d’aspect sinusoïdal.

Nous sommes entourés de vibrations, d’ondes.

L’émotion est aussi un signal. Parfois la tempête émotionnelle est telle qu’on a l’impression d’énormes vagues, comme cette courbe sinusoïdale. 

Réduire l’empathie reviendrait à réduire la courbe de ces émotions. Et si la courbe devenait plate, comme une droite ? Est-ce la Paix ?

Sauf que nous constatons que la Vie elle même est constituée de flux, non rectilignes. 

Observons l’électrocardiogramme. Lorsque le coeur s’emballe, sous l’effet d’une émotion forte ou d’un effort physique, les pics ondulatoires sont plus importants, vers le haut et le bas. Lorsque le calme réapparait, la courbe se tasse. Mais il reste une oscillation,  sinon, il n’y aurait plus de Vie. 

Est-ce à dire que perdre totalement l’empathie signifierait Mort ? ou Non-Vie ? 

Ce raisonnement est sans doute un peu trop simpliste. 

Je constate qu’il existe des mille-feuilles infinis de subtilités en tout. 

Si la corrélation entre amplitude d’onde et accès aux dimensions subtiles existe, cela implique un lien direct entre intensité d’ombre et intensité de lumiere. La sphère. Les antagonistes. Accès double (et pas que) instantané. Réduire l’amplitude reviendrait à réduire le champ de perception. 

Quelque chose cloche.

Lorsque le coeur est au calme, il est plus aisé de capter. Donc onde réduite d’un point de vue physique revient à onde amplifiée d’un point de vue subtil. N’est-ce pas là la clé ? L’antagonisme entre les ondes corporelles et les ondes de captation ? Ou est-ce à dire que les ondes corporelles fortes vont chercher dans les peurs profondes (accélération cardiaque pour éviter un danger de mort ou une émotion qui résulte de la peur de mourir par exemple) et donc cela correspond à nous connecter inconsciemment à plus grand, à ce qui essaie de nous faire évoluer, en nous mettant face à nos limitations mentales ? Dans ce cas cela revient à dire que nous captons sans cesse l’infini sur des ondes d’une amplitude infinie, mais que cela reste dans l’inconscient tant que le corps émet des ondes fortes ?

Cette réflexion part en sphère, c’est à dire dans tous les sens 


C’est drôle, l’antagonisme. Pour se sentir ‘vivant’ de chair et d’os, les expériences de mise en danger se multiplient (courses effrénées de voitures, saut à l’élastique…), le coeur s’emballe à son point culminant. Vérification que je suis bien incarné. Pour autant, les EMI (expériences de mort imminentes) posent le paradigme antagoniste ; c’est lorsque le coeur s’arrête, que je sens que je suis vivant dans tous les autres corps, les corps subtils. Je vis en dehors de ce corps de chair et d’os. 

La voie du milieu ? ou les deux voies simultanées en leur centre ?

Il m’a été donné cette nuit de compléter ces réflexions entamées il y a une semaine (je sentais qu’il n’était pas temps de partager) et de comprendre autre chose.

Quand un curseur augmente, on croit que celui qui lui fait face rétrécit. Et bien non. Prenons une feuille en 2D. Un recto, un verso. Un curseur est du côté recto, son antagoniste, du côté verso. Si l’un augmente et l’autre n’augmente pas, il y a déséquilibre. Ainsi les deux peuvent évoluer et grandir ensemble, s’expanser. Comme le yin et le yang, la lumière blanche et la lumière ombre, etc. Ce n’est pas un face à face c’est un côte à côte. Cet antagonisme semble toucher aux états de conscience. 

Puis j’ai vu Marie. Elle tenait une sorte de sceptre doré, le haut du manche étant un cercle doré presque fermé. A l’intérieur, des énergies tournoyantes argentées, blanches, brillantes, comme un univers complet. En zoomant, je vois un contour de plus en plus en forme de coeur. Je comprends que c’est le coeur vibral. Je suis invitée à plonger. C’est comme un vortex. Le vortex de l’univers, de la création. J’y vais, je sens que ce n’est pas si facile de Laisser Etre. Mais j’y vais. 

Dedans, je suis surprise : je me retrouve à côté d’un boulangerie située sur ma droite, quelque chose de très matériel, sans aucun mouvement, bien rigide. Je crois avoir coupé la vision et être revenue à un rêve fantasmagorique. Et pourtant, en regardant sur ma gauche je vois bien que je suis dans le vortex en mouvement constant (le mouvement de la spirale Fibonacci). Il m’apparaît comme la vision du milieu du sceptre, et je constate que je suis à l’intérieur, comme une petite fourmi. Je comprends que l’incarnation sur Terre et ce que nous voyons et vivons avec nos yeux et notre corps, c’est exactement cela. Nous avons la vision de droite. 

J’ai testé. Je recule, je suis devant le sceptre, je rentre à nouveau dedans. Idem. Vie de tous les jours. Ca marche toujours. Avec cette réalité parallèle à gauche.

Mais la plupart du temps, je ne vis pas la vision de gauche simultanée dans le quotidien. Et pourtant, elle existe bel et bien en continuité. Je comprends à quel point l’intrication est évidente, c’est comme si je dessinais dans l’espace de gauche, et à droite apparaît au même instant une réalité matérielle correspondante. Ou vice-versa, si je déploie un mouvement à droite, je vois à gauche l’effet dans le vortex lumineux. 

Cela me renvoie à Matrix. Il y a les deux niveaux de vision. 

Et je sens que ce que je palpe aujourd’hui n’est qu’une étape. Que cette double vision n’est pas la totalité de ce qui Est. Qu’il y a sans aucun doute de multiples autres simultanéités de visions, et que ceci est un début d’initiation et de compréhension de cette réalité. Et que cela fait suite aux conseils de la veille ; suivre davantage mon féminin intérieur, celui qui voit à gauche, tout en vivant avec mon masculin intérieur, celui qui agit dans la matière à droite.

L’antagonisme suite

L’identification

Je crois que je suis ceci. Ceci est l’antagonisme de cela. 

Un exemple : 

Ceci est victime. 

Cela est Roi. 

Je me crois victime. En y regardant de près, en conscience, je réalise que je ne suis pas victime, mais Roi. A l’intérieur de moi, cela est désagréable. Pourquoi ? 

On va me dire que je me voile la face. Ce n’est qu’une part de l’explication du senti dans le corps. Et si je regardais en face cette identification de Roi ? Alors je ne me voile plus la face. Mais il y a toujours cette sensation désagréable. Je n’ai pas le sentiment qu’il s’agisse de moi. 

On me dit alors que c’est parce que je pense que c’est bien ou mal. La morale. Un mode de fonctionnement. 

Mais finalement, à bien y regarder, victime et Roi constitue aussi un mode de fonctionnement. M’y identifier, c’est nourrir le mécanisme. C’est prendre prise. S’accrocher à ce qui n’est pas. 

Les modes de fonctionnements sont des programmes pour me sécuriser (contrôler qu’il n’y ait aucun risque), et m’adapter à une société, à un monde. Pour fonctionner. Pas pour vivre. 

Cette sensation désagréable n’est que le fruit d’une accroche, d’une identification à un fonctionnement. Roi, victime, bien, mal. 

Au fond, je sens que cela n’est pas juste. Car oui, au fond, je sais. Je sais que je ne suis pas ceci ou cela. Qu’il n’y a pas d’identification.

J’aspire à ne plus fonctionner.

Je sors de l’intérieur le fonctionnement qui apparait, je le place devant moi, l’observe. Et surtout, je ne m’y définis plus. Ce n’est pas moi.

J’aspire à vivre, 

tout simplement.

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